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Dites au CRTD ce que signifie travailler comme interprète professionnel dans le milieu de la danse d’aujourd’hui! Participez à l’enquête nationale avant le 30 juin 2016.

Le Réseau des conseils régionaux de la culture du Québec est fier de vous inviter à vous joindre à la vaste démarche de mobilisation Re_Création en signant cette charte.

(Sherbrooke) Le conseiller Pierre Tardif avait promis qu'il reviendrait à la charge pour savoir s'il était possible d'aménager la salle de diffusion intermédiaire attendue à Sherbrooke au Théâtre Centennial. Il a donc soulevé la question au conseil municipal lundi. Le maire Bernard Sévigny a rappelé que le Théâtre Centennial n'était pas adapté pour ce genre de projet.

Tarif préférentiel pour les inscriptions avant le 30 juin 2016.

LYNE ROBICHAUD REMPORTE LE PRIX PERSONNALITÉ ARTS-AFFAIRES 2016

Alors que le modèle culturel français de financement croisé vacille, “Télérama” a donné la parole a plusieurs directeurs et administrateurs d'établissements culturels qui décryptent leur relation avec les tutelles. Aujourd'hui, certains n'hésitent plus à chercher les subventions ailleurs.

Le modèle de financement public du spectacle vivant montre ses limites. Une enquête menée auprès de 331 structures par le Syndeac le révèle : pour la première fois, en 2016, toutes tutelles publiques confondues, les aides baissent de 0,3 %.

Encore une fois, des danseurs d'un peu partout dans le monde ont convergé vers Trois-Rivières à l'occasion du 22e Festival international Danse Encore qui a pris fin dimanche. Pas de répit pour les organisateurs qui espèrent toucher un financement supplémentaire en 2017 avec la 150e fête du Canada.

Audrey Azoulay a annoncé lundi 6 juin, un renforcement des dispositifs de soutien aux secteurs de la danse et des arts du cirque en France."Avec ce soutien renforcé à la danse et au cirque, c'est la place de la création et son rôle dans la société qui sont mises en avant", a-t-elle souligné.

Il fut un temps – pas si lointain – où les danseurs défilaient chaque semaine sur une balance devant leur professeur, qui notait méthodiquement leur poids, rappelle Anik Bissonnette, qui a dansé pour les Grands Ballets canadiens pendant 17 ans. « Ce temps-là est révolu, nous a-t-elle dit. Ce n’est pas vrai que pour être danseur aujourd’hui, il faut être chétif. »

Après près d’un quart de siècle au 840, rue Cherrier, l’Agora de la danse fait ses boîtes pour s’installer au Wilder Espace Danse, face au cinéma Impérial. Ce faisant, l’incontournable diffuseur de danse contemporaine retrouvera son voisin d’autrefois, Tangente, mais aussi les Grands Ballets canadiens et l’École de danse contemporaine de Montréal, ouvrant un nouveau chapitre emballant qui ne s’écrira pas sans quelques deuils. Réflexions avant le grand saut.

Quelque 400 chercheurs dénoncent la sape de la mission de l’institution.

Le Groupe Jean Coutu est lauréat du prix Arts-Affaires de Montréal, décerné par le Conseil des arts de Montréal et la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, pour son implication auprès du Festival du monde arabe. Le partenariat entre le groupe et Alchimies, créations et cultures (qui organise le festival) a débuté en 2000, et le vice-président du Groupe Jean Coutu, Richard Coutu, s’est personnellement impliqué pour assurer la croissance du festival.

Deux shows ont marqué mon parcours (en fait, bien plus que ça, mais si j'essaie de me rappeler ceux qui ont fait la marque la plus profonde, ce serait ceux-là. Je ne pense pas qu'ils étaient meilleurs que les autres spectacles que j'ai vus. Ils m'ont attrapé à un moment où j'étais plus jeune, où mon regard était plus neuf).

Suite à la lettre ouverte parue dans Le Devoir l'an dernier réagissant au vide critique entourant la danse à Montréal, une question me hante : que faire face à cet appauvrissement de la critique ? En effet, comment, au-delà de la disparition des critiques spécialisés, faire face à la raréfaction de l’espace médiatique consacré à la danse ? Pouvons-nous jouer un rôle en tant qu’acteurs du milieu ? Au-delà de nous sentir victimes et incompris, quelle est notre force d’action face à une situation qui touche l’ensemble de l’art et de la culture ?