2019-05-07
 
Cette section est réservée aux membres du RQD

Les lignes du temps de la Toile-mémoire de la danse

Assurance santé: pourquoi s’en priver?

Travailler en danse, sur scène, en coulisses ou dans un bureau, engage notre corps de multiples manières; aussi, le soin qui doit lui être apporté est une priorité. C’est pourquoi le Regroupement québécois de la danse propose depuis 2012 un régime d’assurance collective à ses membres corporatifs ayant au moins un employé. D’autres options existent pour les travailleurs autonomes.

Assurance collective pour les employés
L’assurance collective prend en charge une portion très avantageuse des dépenses médicales, incluant les consultations en ostéopathie, en physiologie, en kinésithérapie et même en massothérapie, en plus des soins dentaires. N’hésitez pas à contacter Virginie Desloges, responsable des finances et de l’administration du RQD, pour plus d’informations.

Assurance santé pour les travailleurs autonomes
D’autre part, si vous êtes travailleur autonome ou que vous n’avez pas accès à l’assurance collective, une alternative intéressante vous est proposée par La Croix Bleue. Son assurance santé vous permet en effet de couvrir, entre autres, des frais de soins dentaires et de la vue, des frais de médicaments, et aussi d’assurance voyage, en plus d’avoir accès à une assurance salaire en cas d’accident ou de maladie.

Ces services vous permettront d’avancer l’esprit tranquille. Mieux vaut prévenir que guérir! 

Budget fédéral: les engagements en culture se poursuivent

Le budget 2017 présenté ce mercredi par le ministre des Finances Bill Morneau s’appuie essentiellement sur les investissements majeurs dans les arts et la culture annoncés en 2016. L’augmentation de l’enveloppe budgétaire du Conseil des arts du Canada sur cinq ans semble donc maintenue. Le gouvernement fédéral injectera par ailleurs 1,8 milliard de dollars de plus sur 10 ans, à compter de 2018, pour promouvoir les arts et la culture. De ce montant, plus de 1,3 milliard de dollars seront versés aux provinces et aux territoires par le biais d’accords bilatéraux au profit des industries culturelles du Canada et 300 millions de dollars sur 10 ans seront investis dans le Fonds du Canada pour les espaces culturels afin de soutenir la construction, la rénovation et l’équipement d’espaces créatifs partagés et de carrefours favorables à la collaboration entre artistes, organisations et entrepreneurs culturels. La prochaine décennie fera ainsi la part belle à l’innovation et aux infrastructures.

Tout un chapitre dédié aux arts et à la culture dans le budget alternatif imaginé par le Centre canadien des politiques alternatives a attiré notre attention. On peut se réjouir de voir que les deux premières des quatre recommandations qu’il a formulées avec le concours de la Coalition canadienne des arts ont été prises en compte dans le Budget 2017:

  · Maintenir le financement du Conseil des arts du Canada annoncé dans le budget fédéral de 2016.
  · Accroître et élargir les investissements dans l’infrastructure culturelle pour atteindre un total de 1,5 milliard de dollars en huit ans, par l’entremise du Fonds du Canada pour les espaces culturels et d’accords bilatéraux.
  · Accroître l’investissement du gouvernement fédéral dans le programme Présenter le Canada par tranches annuelles de 25 millions de dollars entre 2017 et 2021.
  · Promouvoir l’inclusion et le traitement équitable des artistes dans le cadre des consultations sur la culture numérique.

À l’instar de la Coalition canadienne des arts dont il est membre, le RQD restera «à l’affût des annonces relatives aux engagements antérieurs du gouvernement, notamment le programme Présenter les industries culturelles du Canada au monde entier et le dialogue sur le numérique […], la révision de la Loi sur le droit d’auteur […], la mise sur pied d’un secrétariat numérique et la création du droit de suite pour les artistes canadiens.»

Prochaine étape déterminante: la Politique culturelle canadienne que la ministre du Patrimoine canadien, Mélanie Joly, veut adapter à l’ère numérique et sur laquelle elle travaille depuis un an. À suivre de près.

Revue de presse choisie
  · Communiqué de la Coalition canadienne des arts 
  · Budget 2017: Parks, arts and culture funding gets boost – Ottawa Citizenship 
  · Federal budget gives more money for arts, little sign of cultural policy review – The Globe and Mail    
  · 8 Things Artists and Art Orgs Need to Know About the 2017 Federal Budget  Canadian Art
  · Budget 2017: Cultural Industries – Global Public Affairs

 

L’enseignement de la classe technique: un acte de création

Lundi 13 mars, le Département de danse de l’UQAM, en collaboration avec le RQD, tenait une soirée publique sur le thème de l’enseignement de la classe technique en danse contemporaine, animée par Manon Levac et Johanna Biennaise. Pour tous les intervenants de la soirée, enseigner est un acte d’engagement avec une part significative de création, nourrie par les échanges entre l’enseignant et les participants des classes.

Manon Levac et Johanna Biennaise ont présenté les premiers résultats de leur étude La classe technique en danse contemporaine au Québec: formation des jeunes danseurs et exigences de la création chorégraphique contemporaine. Basée entre autres sur l’analyse d’entrevues réalisées avec des chorégraphes, des enseignants et des interprètes travaillant au Québec, cette recherche cerne les conceptions et les pratiques relatives aux classes techniques offertes dans la formation des danseurs contemporains au Québec aujourd’hui et examine leur cohérence quant aux besoins actuels des danseurs professionnels en processus de création.

Pour accompagner ces réflexions et répondre aux questions du public, trois artistes enseignant la danse contemporaine ont partagé leur approche autour d’une table ronde axée sur la création, la constitution des classes techniques et le processus de création du matériel chorégraphique transmis dans une classe. La transmission et le rapport à l’autre ont constitué la trame de leurs échanges.

La méthode de composition de Jean-François Légaré esquisse de nombreux concepts et images à développer dans la classe, ce qui permet à l’interprète d’atteindre un état d’euphorie favorable au déploiement de sa créativité. Pour générer le matériel pédagogique à transmettre, Jean-François Légaré sélectionne des séquences de mouvements en s’inspirant de styles et de propositions dont les danseurs ont besoin pour répondre aux exigences actuelles de la création montréalaise. S’il dresse des grandes lignes paramétrant son travail, il adapte toujours son enseignement en fonction du contexte dans lequel il est appelé à intervenir. 

Maryse Damecour considère quant à elle l’enseignement comme une création et un acte intime et relationnel où l’on développe bienveillance et confiance. Elle veut créer un lien avec l’environnement et le public et souhaite atteindre un état de flow durant lequel on ne voit pas le temps passer. Maryse Damecour aspire à reconnecter le cognitif et le corporel à travers son enseignement.

Pour Angélique Willkie, troisième intervenante de cette table ronde, l’enseignement est également un acte de création, intimement lié à la notion de partage. Il exprime l’articulation intuitive de ses envies et lui permet de se découvrir à travers les propositions qu’elle véhicule aux artistes qui prennent part à ses classes. Angélique Willkie est constamment stimulée par ce qui se passe dans le corps de l’autre et ce qu’elle peut lui offrir afin de l’amener à trouver ses propres propositions de mouvement. Son enseignement ne part pas de règles, mais d’expériences, dont l’artiste s’inspire pour ensuite construire les siennes. Le contact avec les autres artistes en classe l’amène sans cesse à se dépasser et à devenir meilleure.

Dans le cadre de sa maîtrise en danse sur la mise en jeu de la relation à la gravité en classe technique contemporaine, Sandrine Vachon, interprète, répétitrice et chorégraphe enseignant la danse contemporaine depuis 13 ans, a d’autre part partagé ses réflexions sur le sujet, constatant que la gravité révèle non seulement une certaine vision de la technique, mais plus largement de la danse, de l’art, du corps et du rapport au monde qu’elle sous-tend. 

La main d’œuvre en culture mise au défi

Tandis que se déroule à Montréal le Sommet sur les arts à l’ère du numérique, sous l’égide du Conseil des arts du Canada, on s’inquiète au Québec de la capacité des artistes et des travailleurs culturels à répondre aux défis qu’impose cette révolution. Que penser de l’intégration du numérique dans les arts de la scène quand bien des artistes et des travailleurs culturels vivent proches du seuil de la pauvreté et sans filet de sécurité sociale? Retour sur une allocution éloquente sur le sujet, prononcée par Louise Boucher, directrice générale de Compétence Culture, lors d’un midi-conférence sur le numérique à la dernière Bourse RIDEAU.

Quels moyens pour développer des compétences numériques en culture?
Le manque de temps et de ressources financières mine la confiance du secteur culturel quant à une implantation réussie du numérique. Un exemple concret: mandaté par le gouvernement québécois, Compétence Culture lançait en 2015 un appel à projets auprès des associations et regroupements en lien avec la Mesure 21 du Plan culturel numérique du Québec pour développer les compétences de la main-d’œuvre du secteur culturel associées au numérique et concevoir des formations à distance. Le hic? Pour profiter de la Mesure 21, les organismes devaient contribuer au financement de leur projet à hauteur de 25%, soit 20% en temps et 5% en argent. Une condition qui a mené plusieurs d’entre eux à y renoncer et d’autres, à proposer des projets de moindre envergure. Louise Boucher de renchérir: «La durée même de la Mesure 21, de 40 semaines, n’est pas compatible avec le développement de savoir-faire et la rétention d’expertise à l’interne, selon une perspective durable du développement de la culture numérique.»

Innovateurs précaires
Dans le secteur culturel, les travailleurs autonomes et les contractuels sont soumis au phénomène «des livrables». 60% de la main d’œuvre en culture est ainsi assujettie à la réalité cyclique du travail à projets et occupe des emplois atypiques comprenant du temps de travail non rémunéré. «Ces personnes, porteuses d’innovation et déployant généralement un haut taux d’engagement pour le succès du projet ou de la production, ont en commun d’être mal protégées, voire sans filet de sécurité sociale», énonçait encore Louise Boucher. Autrement dit, le travailleur autonome assume seul tous les risques économiques et sociaux[*] liés à ses activités: sous-emploi, fluctuation des revenus, maladie, invalidité, perte de compétitivité rattachée à la désuétude des connaissances, etc. De plus, la rente à la retraite demeure un fantasme pour la plupart de ceux et celles qui n’ont pas été salariés pendant quelques années.

La rémunération des créateurs est un enjeu de taille que le numérique vient complexifier avec de nouveaux modèles d’affaires, la gratuité des contenus, la remise en question des droits d’auteurs. Des inquiétudes surgissent dans les arts, d’autant plus justifiées que la rémunération des créateurs, notamment en danse, est loin d’accoter celle des spécialistes du numérique auxquels ils font appel pour mener à bien certains de leurs projets.

L’engouement pour le numérique ne doit pas occulter la lutte contre la précarité des artistes et autres travailleurs en culture. C’est ce que rappelle Compétence Culture, tout comme les quelque 50 organismes culturels appuyant la campagne La culture, le cœur du Québec – Pour des carrières durables lancée au mois de février. Il est à espérer que ces voix et celles des 150 000 travailleurs du secteur culturel au Québec se feront entendre et que le gouvernement du Québec témoignera d’une volonté claire de répondre à leurs nombreuses demandes. Relever le défi du numérique, oui, mais sans oublier le cœur de la création artistique ni les besoins criants de la main-d’œuvre en culture.

 

Les lignes du temps de la Toile-mémoire de la danse

La Toile-mémoire de la danse au Québec rayonne en dehors du cercle de la danse! Gabrielle Larocque, chargée de projet en patrimoine au RQD, la présentait le 9 mars dernier lors d’une journée d’étude du Groupe de recherche interdisciplinaire en arts vivants (GRIAV) consacrée à l'étude de la temporalité. À l'invitation de la chercheuse au département de danse de l’UQAM Johanna Bienaise, elle a ainsi révélé quelques-unes des nombreuses chronologies que recèle la Toile-mémoire.

La Toile-mémoire rend visibles les centaines d'individus, compagnies, diffuseurs et lieux d’enseignement qui ont contribué à l’essor de la danse dans la province depuis 1895. Rassemblés sur un même plan graphique, ils forment ensemble une constellation qui dévoile le flux et le foisonnement des échanges, les pôles de concentration comme les zones de rupture. Reliée à des fiches qui donnent à voir les collaborations et les mécanismes de transmission propres à la danse, la Toile-mémoire offre plusieurs portes d’entrée et plusieurs couches d’interprétation au récit historique de la danse. Sa forme organique et rhizomatique invite à repenser l'histoire au-delà de la linéarité.

C'est là l'une des grandes richesses de la Toile-mémoire: l’utilisateur crée sa propre chronologie et devient l’explorateur de trajectoires uniques! Dans la grande Histoire, il y a une multitude d’histoires. À chacun de vagabonder dans cette pléiade au gré de son intuition ou de son intérêt et de créer ainsi son propre récit.

 Voir les trajectoires élaborées par le RQD

 

Nouvelle agente aux communications et aux activités

Le RQD est très heureux d'accueillir Camille Pilawa au sein de son équipe! Ayant œuvré pendant plus de cinq ans auprès de compagnies de théâtre et de cirque montréalaises, dont Les 7 doigts de la main ces deux dernières années, elle a aussi assuré la coordination du volet OFF-CINARS en 2014. Depuis lundi, elle prête main forte à Coralie Muroni aux communications, collabore à la veille d’informations pour relayer actualités et faits saillants de la danse et du secteur culturel. Elle se fera un plaisir de recueillir vos actualités pour alimenter les réseaux sociaux et l’infolettre! Elle mettra d’autre part en œuvre la campagne annuelle d’adhésion et différentes activités proposées par le RQD tout au long de l’année. 

Un répertoire pour développer ses compétences professionnelles partout au Québec

Les artistes et travailleurs culturels établis hors de Montréal sont de plus en plus nombreux à vouloir profiter de l’offre de perfectionnement du Regroupement québécois de la danse. En réponse à cette demande et en attendant les ressources financières et technologiques qui permettraient au RQD d’offrir des formations d’un bout à l’autre du vaste territoire québécois ou en visioconférence, nous avons dressé un répertoire des organismes offrant des activités de perfectionnement professionnel à l’extérieur de Montréal. De la Côte-Nord à l’Abitibi-Témiscamingue, de nombreuses formations en administration, communications, informatique et entrepreneuriat peuvent soutenir les professionnels de la danse dans leur développement de carrière. N’attendez plus pour profiter de ces centaines d’occasions de perfectionnement offertes par les conseils régionaux de la culture (CRC), les cégeps et les universités!

 

CONSEILS RÉGIONAUX DE LA CULTURE

Ils contribuent au développement et à la vitalité artistique et culturelle de leur région, ils assument un rôle de conseil auprès des différents partenaires publics et politiques et assurent la défense des intérêts des professionnels des arts. Vous l’aurez compris, les CRC sont des interlocuteurs privilégiés et de précieuses ressources pour les artistes et les travailleurs culturels éloignés des grands centres. De plus, certains d'entre eux remboursent les frais de déplacement des participants habitant loin du lieu de l’activité de formation.

Quelles formations offrent les CRC? Gestion de priorités (pistes et stratégies), diversification du revenu d’artiste, financement de projet et développement de clientèles, entrepreneuriat culturel, marketing web, demande de bourse pour les artistes de la scène, utilisation avancée des médias sociaux, classes techniques, réseautage traditionnel et virtuel, élaboration d’une demande de financement, création de sites web avec WordPress, fiscalité pour les travailleurs culturels autonomes, utilisation des outils Google, rédaction d’une démarche artistique, etc. La liste est longue. Certains CRC offrent même la possibilité de suivre des formations sur mesure!

Dans un CRC près de chez vous :

Québec Chaudière-Appalaches
Gaspésie
Centre-du-Québec
Estrie
Lanaudière
Laval
Côte-Nord
Montérégie
Saguenay-Lac-Saint-Jean
Abitibi-Témiscamingue
Bas-Saint-Laurent
Laurentides
Mauricie
Outaouais
Îles-de-la-Madeleine

 

CÉGEPS

Reconnus pour leur rôle central dans la formation initiale, les cégeps proposent aussi de nombreuses activités de formation continue qui permettent de concilier vie scolaire, professionnelle et personnelle grâce à des horaires flexibles ou des cours virtuels qui peuvent être suivis à distance. Plusieurs de ces formations sont même offertes à des tarifs dérisoires de 1 $ ou 2$ l’heure.

Cégep de Limoilou (Capitale-Nationale)
Gestion financière et comptabilité informatisées, Bureautique et comptabilité, etc. 

Cégep Garneau (Capitale-Nationale)
Wordpress intermédiaire, Alimenter les réseaux sociaux, Trucs et astuces en organisation d’évènements, etc.

Cégep de Sainte-Foy (Capitale-Nationale)
Administration et gestion (divers types de gestion de projets), Bureautique (Excel), Graphisme et web (InDesign, HTML, Marketing web, Photosphop, WordPress, etc.

Cégep de La Pocatière (Bas-Saint-Laurent)
En classe: Informatique (Word, Excel, PowerPoint, Access et Publisher), Gestion de projets (concepts de base), Réseautage et marketing relationnel (LinkedIn), Web (WordPress, Facebook, Twitter, YouTube et Mailchimp), etc.
À distance: Comptabilité (débutant), Infographie (débutant), Technologie de l’information, etc.

Cégep de Rimouski (Bas-Saint-Laurent)
Possibilités de formations sur mesure!

Cégep de Saint-Jérôme (Laurentides)
Comptabilité (débutant) et administration, WordPress et HTML, Suite Adobe, etc.

Cégep de Trois-Rivières (Mauricie)
En classe: Base de données, Comptabilité, Gestion du temps et des priorités, Communications et graphisme (outils promotionnels, Illustrator, InDesign, Photoshop, montage vidéo, rédaction web), Marketing web et médias sociaux, etc.
À distance: Illustrator, InDesign et intégration web, Photoshop, Programmation web, WordPress, Médias sociaux, Rédaction web, etc.

Cégep de l’Outaouais (Outaouais)
Communication et médias sociaux, Gestion de projets, Gestion du temps et des priorités, Marketing, etc.
 

 

UNIVERSITÉS

Pas besoin de s’inscrire à la maîtrise pour aller à l’université! De nombreuses formations d’une journée sont offertes pour répondre aux besoins des travailleurs autonomes. Renseignez-vous auprès de votre Conseil de la culture, il se pourrait qu'il puisse vous aider à financer une partie des frais d’inscription à ces formations.

Université de Sherbrooke (Estrie)
Planifier/rédiger/gérer les communications web, Concevoir/diffuser une présentation persuasive, Gérer ses relations avec les médias, Élaborer/estimer/gérer des projets, Financement/marketing pour un OBNL, etc.

Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue
Gestion de projet, Évaluations financières, Stratégies pour une entreprise d’exploration, Gestion des priorités/du stress, Initiation à Photoshop et Illustrator, etc.

Université du Québec à Chicoutimi (Saguenay-Lac-Saint-Jean)
Favoriser/ gérer l’innovation au quotidien dans son entreprise (stratégies pour gestionnaires, responsables du marketing et autres), Gestionnaire influent – leader inspirant, Stress et épuisement professionnels, etc.

Université du Québec en Outaouais
Rédiger pour le web, Marketing numérique, Web et réseaux sociaux, Comprendre l’information comptable et financière, Gestion de projet, Rédaction de rapports, etc.
Des formations sur mesure sont également offertes.

Université du Québec à Rimouski (Bas-Saint-Laurent)
Augmenter sa capacité d’innovation, etc.

Université du Québec à Trois-Rivières (Mauricie)
Conception/évaluation/gestion de projet, Gestion d’un OBNL, Stratégies marketing, Gestion des priorités, etc.

 

Regards critiques: Un blogue sur votre expérience de spectateur

Voir un spectacle de danse. Être happé par le mouvement, ébloui par la beauté des corps, ému ou révolté. Vivre une expérience sensorielle, esthétique, spirituelle. À l’heure où la couverture médiatique de la danse tend fortement à se réduire, le blogue Regards critiques sur la danse offre aux artistes et aux professionnels de la danse de partager leurs impressions de spectateurs, ce qui leur reste d'une œuvre chorégraphique qui les a marqués d'une manière ou d'une autre. Créée en 2015 par le Regroupement québécois de la danse, en complicité avec la dramaturge et directrice artistique Katya Montaignac, cette plateforme est ouverte à la subjectivité des regards et à la multiplicité des points de vue. Un espace d’échanges et de réflexion dont a récemment profité la chorégraphe Mélanie Demers pour revenir sur une œuvre qui a bouleversé sa conception de la chorégraphie au début des années 2000. Sa parole succède, entre autres, à celles de Sylvain Verstricht, Fréderick Gravel, Sophie Corriveau, Brice Noeser et Enora Rivière.

Artistes et professionnels de la danse, partagez vous aussi votre regard sur la danse et les œuvres qui vous ont marqués en nous envoyant vos textes. Ils seront finalisés en dialogue avec Katya Montaignac.

Voir le blogue

Renforcer ses compétences de chorégraphe

Qu'il soit de la relève ou expérimenté, le chorégraphe est souvent amené à renouveler ses manières de faire, à développer de nouveaux partenariats, à questionner et raffiner sa démarche artistique. Il doit faire preuve de créativité jusque dans la gestion des budgets et des échéanciers!

Grâce au Guide de développement professionnel à l’intention des chorégraphes, les artistes peuvent identifier par eux-mêmes leurs besoins de perfectionnement et profiter de nombreux outils pratiques, de conseils de formation et de références utiles pour accompagner leur développement de carrière. À consulter sans plus tarder et sans modération!

► Consulter le guide

Cet outil vous a permis d'identifier un besoin de formation? Contactez Daniel Bastien, coordonnateur du développement professionnel pour lui en faire part!